le voici :
Infirmier(ière)
Collaboratrice du médecin, l'infirmière (la profession compte 90 % de femmes !) dispense des soins aux patients, surveille leur état de santé et contribue à leur bien-être.
Métiers associés :
infirmier(ère) de boc opératoire, infirmier(ière) anesthésiste
il fo savoir faire :
Compétences
Dévouement et résistance
La profession requiert des qualités humaines et relationnelles, et une forte motivation. Le dévouement, la patience, l'écoute et la volonté d'aider autrui s'expriment ici au quotidien. Le sens des responsabilités, un bon équilibre personnel et une excellente résistance physique se révèlent également indispensables. Par ailleurs, le goût du travail en équipe, la capacité à s'organiser et à analyser rapidement une situation seront autant d'atouts pour s'épanouir dans ce métier. Enfin, l'infirmière, amenée à côtoyer la maladie et la mort, doit posséder la maturité et le recul nécessaires pour se préserver des situations de souffrance auxquelles elle est confrontée.
Accès au métier
Une formation en trois ans
Pour exercer ce métier, il faut obtenir le Diplôme d'Etat d'infirmier , délivré par les instituts de formation aux soins infirmiers (IFSI) après trois années d'études.
L'admission se fait sur concours (30 000 places mises au concours d'entrée en première année pour la rentrée 2005), ouvert aux titulaires du baccalauréat ou d'un titre équivalent. Des places sont réservées aux auxiliaires de puériculture et aux aides-soignants justifiant de trois ans d'expérience.
Le concours comprend deux épreuves écrites d'admissibilité (culture générale, tests psychotechniques) et une épreuve orale d'admission (un entretien destiné à évaluer les motivations du candidat, ses aptitudes à suivre la formation et son projet professionnel). De nombreuses préparations au concours sont proposées aux étudiants, la majorité étant assurée par des organismes privés.
Les études, d'une durée de trois ans, sont gratuites. La formation accorde une place importante aux stages (douze semaines au minimum par an, obligatoires dès la première année). Ils ont lieu en milieu hospitalier, dans les crèches, les centres de santé... Une indemnité de stage est désormais versée aux étudiants des IFSI.
Une quarantaine d'établissements proposent de suivre la formation dans le cadre d'un contrat d'apprentissage, mais le concours reste indispensable pour accéder aux études.
Exemple(s) de formations menant au métier :
Exemple(s) de concours menant au métier :
Infirmier civil de soins généraux du ministère de la défense (anciens combattants)
Infirmier de bloc opératoire - cadre de santé Infirmier de la ville de Paris Infirmier des Etablissements nationaux de bienfaisance Infirmier des services médicaux des administrations de l'Etat Infirmier du département de Paris Infirmier du ministère chargé de l'éducation Infirmier territorial
http://www.onisep.fr/onisep-portail/portal/group/gp/page/accueil.espace.metiers
exemple de ce kil fo faire ou etre bon en :
Sens du conseil et du commerce
Six à neuf ans d'études
Du conseil à la vente
Professionnel de la santé, le pharmacien peut exercer différents métiers suivant sa spécialité. Dans une pharmacie (appelée « officine »), il délivre les médicaments, sur ordonnance ou en vente libre. Son rôle de conseil est important, car on ne vend pas des médicaments n'importe comment ! Attentif au bon usage des produits, il vérifie chaque prescription médicale : conformité des doses en fonction de l'âge du malade, compatibilité entre les produits, risques d'allergies... Relais entre le médecin et le patient, il explique la façon de prendre un traitement et les indications à respecter. Éternuements, mal de tête ou toux : c'est aussi à lui que l'on s'adresse en cas de pathologie légère. Outre le conseil et la vente, il achète les produits, gère les stocks et, quand il est le patron de l'officine, tient sa comptabilité et surveille son chiffre d'affaires.De l'officine au laboratoire pharmaceutique
Suivant sa spécialité, le pharmacien exerce dans différentes structures (officine, hôpital, laboratoire d'analyses médicales ou laboratoire pharmaceutique), dans le privé comme dans les hôpitaux publics. En officine ou dans un laboratoire d'analyses, il est quotidiennement en contact avec les clients. À la tête d'une pharmacie, il emploie des assistants et des préparateurs chargés de gérer les stocks. Son rythme de travail est alors soutenu, y compris les week-ends et les jours fériés.Surtout en officine
L'officine est le premier débouché pour les pharmaciens : les trois quarts des 72 322 professionnels en exercice ont choisi cette voie. Les autres secteurs d'emploi sont la biologie médicale (8 079 professionnels), l'industrie pharmaceutique (3 318) et les hôpitaux (4 947). En officine, beaucoup de jeunes débutent en tant qu'assistants. Ils sont alors salariés, à temps partiel ou à plein temps. Par la suite, ils peuvent s'associer pour devenir propriétaires d'une officine. Mais beaucoup préfèrent rester salariés car les fonds de commerce coûtent cher, et diriger une pharmacie suppose une grosse charge de travail. De leur côté, les pharmaciens biologistes peuvent aussi évoluer en rachetant un laboratoire d'analyses médicales.Rémunération
Côté salaires, les rémunérations varient selon l'activité. Dans une officine, un assistant débute aux alentours de 2 000 euros brut par mois. Après quelques années, il peut gagner mille euros de plus.
enfin voila ...
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